med-mastodon.com is one of the many independent Mastodon servers you can use to participate in the fediverse.
Medical community on Mastodon

Administered by:

Server stats:

368
active users

#pesticides

28 posts26 participants0 posts today
Continued thread

Zo roept Natuurpunt op om veel wilde #planten en #bloemen aan te leggen in je tuin en om geen #pesticides te gebruiken. Daarnaast kan je deelnemen aan de Insectenzomer van #Natuurpunt. Als je met onze app Obsidentify bijen in je tuin scant, kan je kijken welke soorten in jouw tuin of omgeving voorkomen.

#bijen #wildebijen #natuur #biodiversiteit

Voor het eerst een rode lijst voor wilde bijen: bijna 1 op de 3 soorten in Vlaanderen bedreigd
vrtnws.be/p.Ra7y6lL60

Voor het eerst een rode lijst voor wilde bijen: bijna 1 op de 3 soorten in Vlaanderen bedreigd | VRT NWS: nieuws
VRT NWS · Voor het eerst een rode lijst voor wilde bijen: bijna 1 op de 3 soorten in Vlaanderen bedreigd | VRT NWS: nieuwsBy VRT NWS

Tranquilles on se dirige vers les 2 millions. Faites encore tourner pour rabattre les certitudes de YBP et de sa clique
#pesticides #loiduplomb

petitions.assemblee-nationale.

petitions.assemblee-nationale.frNon à la Loi Duplomb — Pour la santé, la sécurité, l’intelligence collective. - Non à la Loi Duplomb — Pour la santé, la sécurité, l’intelligence collective. - Plateforme des pétitions de l’Assemblée nationaleJe m'appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises). En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jour à appliquer ce que vous — législateurs — refusez aujourd’hui de respecter vous-mêmes. La Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire. Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens. - Cette loi est un acte dangereux. Pour les travailleurs, les habitants, les écosystèmes, les services écosystémiques, et pour l’humanité tout entière. Elle fragilise les réseaux trophiques et compromet la stabilité de notre environnement — dont nous dépendons intégralement. Nous sommes ce que nous mangeons, et vous voulez nous faire manger quoi ? Du poison. 📚 Les grands textes l’avaient déjà dit : Le rapport Brundtland, l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire (MEA), les rapports du GIEC, les études de l’OMS, de l’INRAE, de Santé Publique France… Tous alertent depuis des décennies sur les conséquences des politiques destructrices du vivant et de la santé. Et pourtant, vous persistez à légiférer contre l’intérêt général. ⚖️ Un acte possiblement inconstitutionnel. Selon l'article L110-1 du Code de l'environnement, l’État français est garant de principes environnementaux comme: « 6° Le principe de solidarité écologique, qui appelle à prendre en compte, dans toute prise de décision publique ayant une incidence notable sur l'environnement des territoires concernés, les interactions des écosystèmes, des êtres vivants et des milieux naturels ou aménagés ; » Et la LOI constitutionnelle n° 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l'environnement (JORF n°0051 du 2 mars 2005 page 3697) (annexée à la Constitution de 1958) dans son chapitre 1er : « Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé. » En validant cette loi, vous violez potentiellement ce droit constitutionnel, et portez atteinte à l’obligation de précaution, pourtant consacrée par le principe n°15 de la Déclaration de Rio et repris dans notre droit. Je m’oppose donc à la Loi Duplomb. Par cette pétition, je demande : - Son abrogation immédiate ; - La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ; - La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit. Aujourd'hui je suis seule à écrire, mais non seule à le penser.

Exposure to a mix of #pesticides raises risk of #pregnancy complications 🌾🍼, study suggests. At least one pesticide was found in the urine of 81% of women, and 64% showed multiple pesticides. Of those, 34% had pregnancy complications. 70% of rural women showed multiple pesticides, compared to 55% urban.

theguardian.com/environment/20

#PesticideExposure #PregnancyHealth #WomensHealth #RuralUrbanDivide #PublicHealthResearch #Health

The Guardian · Exposure to a mix of pesticides raises risk of pregnancy complications, study suggestsBy Tom Perkins

'Scientists believe bee die-off is caused by a combination of pesticides, disease and poor nutrition. Some in the industry think Ellis is too single-minded in his focus on pesticides.

'But Mark Sundberg, a fourth-generation beekeeper near Fergus Falls, Minn., and president of the Minnesota Honey Producers Association, said Ellis plays an important role in the industry.

'“A lot of us are kind of afraid to speak up in a lot of ways because we're so dependent on the farm community for where we place our bees. So we’ve got to be real careful about how we approach the pesticide issue,” said Sundberg.'
mprnews.org/story/2025/07/21/m

MPR News · Minnesota man on a mission to save honeybees, shrink pesticide useBy Dan Gunderson

Fleur Breteau
''Nous, citoyennes et citoyens, exigeons que la France mette fin à l’empoisonnement silencieux de ses habitantes et habitants - et de son environnement. Les pesticides de synthèse — insecticides, herbicides, fongicides — sont omniprésents : dans l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols qui nourrissent notre alimentation, et aussi dans nos corps. Chaque année, plus de 65 000 tonnes de substances actives sont répandues sur notre territoire, malgré leur danger avéré.''
petitions.assemblee-nationale.
#pétitions #pesticides

petitions.assemblee-nationale.frPour une sortie des pesticides de synthèse ! - Pour une sortie des pesticides de synthèse ! - Plateforme des pétitions de l’Assemblée nationaleLa France trahit ses engagements et met en danger la santé de ses citoyennes et citoyens ! Le silence est rompu : c'est l'heure d'agir. Nous, citoyennes et citoyens, exigeons que la France mette fin à l’empoisonnement silencieux de ses habitantes et habitants - et de son environnement. Les pesticides de synthèse — insecticides, herbicides, fongicides — sont omniprésents : dans l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, les sols qui nourrissent notre alimentation, et aussi dans nos corps. Chaque année, plus de 65 000 tonnes de substances actives sont répandues sur notre territoire, malgré leur danger avéré. L’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des risques professionnels), la Mutualité Sociale Agricole et de nombreuses études épidémiologiques ont démontré les liens probables ou avérés entre l’exposition aux pesticides et des pathologies graves : maladie de Parkinson, cancers de la prostate, leucémies infantiles, tumeurs cérébrales, troubles de la fertilité, troubles cognitifs, malformations congénitales. Ce sont d’abord les agriculteurs, les femmes enceintes, les enfants et les riverains qui payent ce lourd tribut. Aujourd'hui, les scientifiques et les médecins qualifient le cancer « d’épidémie » car ses causes sont structurelles, liées aux produits phytosanitaires, et son incidence augmente dans toutes les catégories de la population de manière très préoccupante. Le cancer est désormais la première cause de mortalité par maladie chez les enfants ; six cancers sont en nette progression chez les jeunes de 15 à 39 ans ; la France détient la plus forte incidence de cancer du sein au monde. Les pesticides n’empoisonnent pas que les humains; ils détruisent méthodiquement le Vivant. En Europe, 80 % des insectes ont disparu en quelques décennies. En France, les oiseaux des champs ont chuté de 36 % entre 1989 et 2021, et un tiers des colonies d’abeilles disparaît chaque année. Le lien avec l’usage des néonicotinoïdes est scientifiquement établi. Pourtant, la France continue d’autoriser ces substances, malgré les alertes répétées et les dégâts grandissants constatés. Pire encore, la France trahit ses engagements internationaux. En 2021, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a adopté la résolution 48/13, reconnaissant pour la première fois qu’un environnement propre, sain et durable est un droit humain fondamental. L’année suivante, en 2022, l’Assemblée générale des Nations Unies a réaffirmé ce droit universel, soulignant que chaque être humain doit pouvoir jouir d’un air pur, d’une eau saine, d’une terre fertile et d’un climat stable. La France a cosigné ces résolutions, s’engageant publiquement à protéger la santé de ses citoyennes et citoyen, et à garantir un environnement sain pour les générations présentes et futures. Ces engagements sont jusqu’à maintenant restés lettres mortes. Alors que la Science alerte depuis des décennies sur les effets dévastateurs des pesticides sur la santé et l’environnement, la France persiste à privilégier ce modèle agricole toxique. En refusant d’appliquer pleinement le principe de précaution inscrit dans ces textes internationaux, la France fragilise la confiance dans ses institutions et met en péril la Santé Publique. Ce décalage entre engagements pris et actions menées est d’autant plus inacceptable que la France est l’un des pays européens les plus consommateurs de pesticides. En continuant à fermer les yeux sur ces contradictions, elle cautionne un système défaillant qui sacrifie la santé de ses citoyennes et citoyens au profit d’intérêts économiques à court terme. Nous demandons que la France traduise enfin ses engagements internationaux en actes concrets : en interdisant définitivement les pesticides reconnus dangereux, en planifiant une bifurcation vers une agriculture respectueuse de la santé et de l’environnement, et en garantissant à tous ses habitantes et habitants le droit fondamental à un environnement sain, conformément aux résolutions qu’elle a ratifiées et aux attentes de la population. Il est temps d’agir. Agir avec courage. La Science est catégorique, les preuves sont solides et unanimes : le doute n'est plus permis. Les citoyennes et citoyens sont mobilisés. La France ne peut plus se permettre de trahir ses engagements, de mettre en péril la santé de ses citoyennes et citoyens, la survie de son environnement. C’est une question de justice sociale, de santé publique, de respect des droits humains. C’est une urgence. Sortons des pesticides de synthèse, maintenant ! Il en va de notre responsabilité, de notre vie, de notre avenir commun et de celui de nos enfants. ✍ En signant cette pétition, vous défendez la science, la démocratie, la santé et le Vivant

"Notre collectif reçoit en ce moment tellement de témoignages qu’il n’arrive pas à faire face : des aidantes et des aidants, des gens qui ont enchaîné trois cancers, des personnes qui habitent à côté d’agriculteurs et d’agricultrices malades… Et des collectifs sont en train de se monter localement. Il y a une telle colère…"

Fleur Breteau, nouveau visage du combat contre les #pesticides : « J’incarne les conséquences d’un système qui part en vrille »
mediapart.fr/journal/france/18

Mediapart · Fleur Breteau, nouveau visage du combat contre les pesticides : « J’incarne les conséquences d’un système qui part en vrille »By Amélie Poinssot

A 23-year-old student rallied half a million French against a controversial farming law.

A petition launched by a 23-year-old student to repeal a new French law on farming has garnered more than 549,000 signatures, surpassing the threshold to be debated in parliament — a first in France's recent history.

The petition could be debated in the French parliament in the autumn.

mediafaro.org/article/20250719

A farmer spraying their crops. | Tesson/Andia/Universal Images Group via Getty Images
Politico.eu · A 23-year-old student rallied half a million French against a controversial farming law.By Giorgio Leali