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#genocides

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How does karma work? How does God work? How does justice happen in this universe? Xi is thriving, Putin is stumbling along, Bibi fumbles and bumbles, Trump is in the throes of dementia, yet somehow they all still live, their #genocides continue unabated, each of them individually and, more worryingly, collectively.
And Pope Francis, our #SaintFrancis passes away.
The world is a bleak place these days

Given #Germany’s direct participation in multiple historical #genocides, not least the present one in #Palestine, along with its brutal domestic repression vs those critical of Israel’s mass murder of Palestinians in #Gaza, imo it is vital to recall the widespread post-war recruitment of former #Nazis into a host of governmental, police and other official roles!

“The Role Ex-Nazis Played in Early West Germany”

in Spiegel International (2012)

spiegel.de/international/germa

DER SPIEGEL · From Dictatorship to Democracy: The Role Ex-Nazis Played in Early West GermanyBy Ralf Beste

Cambodia’s haunted present: 50 years after Khmer Rouge’s rise, murderous legacy looms large. “On April 17, 1975, tanks rolled into…Phnom Penh, to cheering crowds who believed…the civil war might finally be over. …what followed was one of the worst #genocides of the 20th century. During a brutal 4-year rule, the…#KhmerRouge killed between 1.6 million & 3 million people…a quarter of the…population... …the Khmer Rouge’s legacy continues to shape #Cambodia…” | by Sophal Ear theconversation.com/cambodias-

The ConversationCambodia’s haunted present: 50 years after Khmer Rouge’s rise, murderous legacy looms largeSophal Ear, a Cambodian scholar who fled the Khmer Rouge as a child, reflects on 50 years since the murderous regime took control.

We #techworkers have educated ourselves on the history of threats like these, and on the roles that technology played in carrying them out. We see how #IBM collaborated to digitize and streamline the #Holocaust, contributing to the deaths.

We acknowledge that #genocides are not merely a relic of the distant past—among others, #Tutsi #Rwanda and #Bosnia #Muslims have been victims in our lifetimes.

Today we stand together to say: not on our watch, and #neveragain

neveragain.tech/

neveragain.techneveragain.techToday we stand together to say: not on our watch, and never again.

On this #HolocaustMemorialDay when we remember the #genocides perpetrated across the Globe, many recall #Auschwitz. It is only in the past few weeks that my housemate & I learned that not only #Jews were held and murdered at the camp, but also other ethnic & political prisoners. The #Shoah took some 7 million Jewish lives, but the accompanying #NAZI genocide took an additional 5 million others. We remember them all. Lest we forget!

Link to Auschwitz.org :

auschwitz.org/en/history/ausch

80e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau @auschwitzmuseum

- raar.info/2025/01/80e-annivers

- fr.wikipedia.org/wiki/Auschwit

Rendez-vous le lundi 27 janvier 2025 pour un rassemblement de mémoire et de mobilisation contre les héritiers du #nazisme au mémorial du Vel d'Hiv, 7 rue Nélaton, Paris 15e

À l'appel du #RAAR @sos_racisme et @collectifgolem

this is one of the 50 laws Biden signed yesterday, so we know Congress can do stuff IF they wanna. It amends a 2020 law that requires teaching the Holocaust in schools & provides special funding & instructions to do so. There is NO law that requires kidz learn abt any of #Genocides the US has done, while we currently assist #ApartheidIsrael in doing an active #Genocide
clickorlando.com/news/politics

#GRK0121 #Génocides #Palestine #Histoire #MichèleHICORNE
LA PALESTINE ASSASSINÉE, Un nettoyage ethnique voulu par le sionisme dès le XIXe siècle
Michèle Hicorne (2019, Le Lys Bleu)
iBouquin:mega.nz/file/YIhW1JTC#_Gryk_CB
Si t'as les moyens:
lysbleueditions.com/produit/la

Présentation:
En cette période de chasse aux sorcières où critiquer Israël est facilement taxé d'antisémitisme et où l'amalgame entre ce délit et l'antisionisme se répand un peu partout, revenir au passé, aux prémices du sionisme, cela semble bien nécessaire pour une meilleure compréhension du présent et de l'avenir et pour rétablir une vérité à laquelle ont droit en premier lieu les Palestiniens.
Hé oui, l'histoire écrite par les vainqueurs, pourtant sérieusement mise à mal par les travaux remarquables des « nouveaux historiens » israéliens, reste malgré tout acceptée par beaucoup...Aussi, l'on continue à parler du « problème palestinien » comme si la responsabilité de la situation actuelle n'en incombait ni à Israël, ni à ceux qui avaient permis son établissement ! On continue à croire au mythe d'« une terre sans peuple pour un peuple sans terre », aux mensonges quant au soi-disant départ volontaire des habitants.
On zappe la réalité de la NAkba et ses horreurs : le nombre de Palestiniens tués, les 800.000 expulsés, les villages et villes anéantis, le nettoyage ethnique, la voracité pantagruélique de l'état colonisateur.
Et pourtant les faits sont là. Les preuves sont irréfutables. On ne peut faire comme si on ne savait pas. Il y va de la justice et de la survie du peuple palestinien.
Ce livre, l'auteure l'a conçu comme un outil pour qui n'a pas lu les Finkelstein, Pappé, Sand, Chomsky et autres analystes pointus. Elle espère qu'il donnera (notamment aux enseignants) les bases essentielles à la compréhension de l'idéologie sioniste, ferment de l'installation juive en Palestine et de l'éviction de ses habitants légitimes et qu'en découlera une réflexion critique indépendante de toute manipulation et propagande.

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Michèle Hicorne
a été professeure de français dans les deux dernières années du secondaire. Le sort réservé aux migrants par l’Europe et la violation continuelle du droit international dans un oubli total de la justice sont au cœur de ses préoccupations. L’auteure de La Taroumit , récit autobiographique sur sa vie chez les Berbères et de Des mots pour la Palestine , recueil de poèmes écrit après une mission civile en Palestine, est membre de différentes associations belgo-palestiniennes. Son dernier voyage en Cisjordanie date de novembre 2018.

Passionnée par son métier de professeur de français qui lui a donné le plaisir d'analyser des textes superbes et de se frotter à des idées philosophiques diverses, Michèle Hicorne a eu l'immense avantage de côtoyer au quotidien, pendant 30 ans, des adolescents qui lui ont permis de se remettre toujours en question. Elle a ensuite largué les amarres par amour pour un berbère des montagnes du Haut-Atlas. Après plus de trois ans de vie simple(au début sans électricité, sansT.V., radio,...) mais extraordinaires pour le sentiment de liberté nomade et l'apprentissage de "l'autre", elle revient s'installer en Belgique . Son besoin des autres cultures et sa certitude que notre siècle et les suivants ne pourront exister que dans la cohabitation de multiples identités la font participer à de nombreuses réflexions sur l'immigration, le pluriculturalisme. Elle travaille dans un centre de réfugiés et ses voyages l'emmènent hors des sentiers battus.
De plus en plus écoeurée de l'attitude des gouvernements occidentaux et de leur lâcheté face aux violations des droits des Palestiniens, l'auteure fait partie de l'association belgo-palestinienne. Après une mission civile en Palestine, sa détresse face à l'injustice, sa souffrance d'avoir vu l'injustifiable, lui ont fait écrire des textes pour, en quelque sorte, se défaire d'un poids trop lourd.

A ‘Cop of peace’? How can #authoritarian, #HumanRights-trashing #Azerbaijan possibly host that?

"The #ClimateCrisis is just as much about protecting human rights as it is about protecting the #Climate and #biodiversity. You cannot claim to care about #ClimateJustice if you ignore the sufferings of oppressed and #colonised people today. We cannot pick and choose whose human rights to care for, and who to leave behind. Climate justice means justice, safety and freedom for everyone."

by #GretaThunberg, November 11, 2024

"Cop meetings have proven to be #greenwashing conferences that legitimise countries’ failures to ensure a livable world and future and have also allowed authoritarian regimes like #Azerbaijan and the two previous hosts – the #UnitedArabEmirates and #Egypt – to continue violating human rights.

"#Genocides, #ecocides, #famines, #wars, #colonialism, rising inequalities and an escalating #ClimateCollapse are all interconnected crises that reinforce each other and lead to unimaginable suffering. While #humanitarian crises are unfolding in #Palestine, #Yemen, #Afghanistan, #Sudan, #Congo, #Kurdistan, #Lebanon, #Balochistan, #Ukraine, #NagornoKarabakh / #Artsakh, and many, many other places, humanity is also breaching the 1.5C #GreenhouseGas emissions limit, with no signs of real reductions in sight.

"Instead, the opposite is taking place – last year, global emissions reached an all-time high. #Heat records have been shattered, and this year is 'virtually certain' to be the hottest year ever recorded, with unprecedented #ExtremeWeather events pushing the planet further into uncharted territory. The destabilisation of the biosphere and the natural #ecosystems we depend on to survive is leading to untold human suffering and further accelerating the #MassExtinction of flora and fauna."

Read more:
theguardian.com/commentisfree/

Archived version:
archive.ph/wip/M0xcU

The Guardian · A ‘Cop of peace’? How can authoritarian, human rights-trashing Azerbaijan possibly host that?By Greta Thunberg

#GRK0079 #Génocides #Palestine #IlanPAPPÉ
Le nettoyage ethnique de la Palestine
Ilan Pappé (2008, Fayard)
iBouquin:mega.nz/file/MIZ3SJBb#mk2VT-Zi
Si t'as les moyens (rééd.2024):
lafabrique.fr/le-nettoyage-eth

Présentation:
A la fin de 1947, la Palestine compte près de 2 millions d’habitants : un tiers de Juifs, deux tiers d’Arabes. La résolution 181 des Nations unies décide sa partition en deux Etats : l’un doit être presque exclusivement peuplé d’Arabes ; dans l’autre, les Juifs seraient légèrement majoritaires.
Un an plus tard, c’est un Etat à très forte majorité juive, Israël, qui occupe 78 % de la Palestine. Plus de 500 villages ont été rasés, de nombreuses villes ont presque entièrement perdu leur population arabe. Et 800 000 Arabes palestiniens originaires des territoires qui font désormais partie d’Israël peuplent des camps de réfugiés hors de ses frontières.
A en croire l’historiographie israélienne traditionnelle, cette situation serait la résultante imprévisible, involontaire, des aléas d’un conflit armé : la « première guerre israélo-arabe ». Mais Ilan Pappe en donne ici une explication bien différente. A l’aide de documents d’archives, de journaux personnels, de témoignages directs, il reconstitue en détail ce qui s’est vraiment passé à la fin de 1947 et en 1948, ville par ville, village par village. Apparaît alors une entreprise délibérée, systématique, d’expulsion et de destruction : un « nettoyage ethnique » de la Palestine.
En quelques mois, forts de leur supériorité militaire, de leur accord secret avec le roi de Jordanie, de la passivité complice des soldats britanniques et de l’impéritie de l’ONU, les dirigeants du mouvement sioniste ont organisé le « transfert », par la violence et l’intimidation, d’une population arabe plutôt pacifique, sans défense, abandonnée de tous.
A la veille du soixantième anniversaire de la création de l’Etat d’Israël, ce livre passionnant vient rappeler que la résolution du problème des réfugiés doit être la pierre angulaire de toute tentative de paix dans la région.

Dans cet ouvrage majeur, Ilan Pappé, historien israélien de renom, revient sur la formation de l’État d’Israël : entre 1947 et 1949, plus de 400 villages palestiniens ont été délibérément détruits, des civils ont été massacrés et près d’un million d’hommes, de femmes et d’enfants ont été chassés de chez eux sous la menace des armes. Ce nettoyage ethnique a été passé sous silence pendant plus de soixante ans et peine encore à être considéré dans sa pleine mesure.

S’appuyant sur quantité d’archives, Ilan Pappé réfute indubitablement le mythe selon lequel la population palestinienne serait partie d’elle-même et démontre que, dès ses prémices, l’idéologie fondatrice d’Israël a œuvré pour l’expulsion forcée de la population autochtone.

Ce qui fut un grand livre d’histoire est aujourd’hui une lecture indispensable hélas éminemment d’actualité.

« En regardant les preuves, je voulais savoir qui était responsable de cette catastrophe. À travers mes recherches, reconstituées dans ce livre, j’ai pu identifier un groupe de politiques et généraux israéliens qui ont décidé et organisé l’expulsion massive des Palestiniens en 1948 comme précondition pour la création de l’État d’Israël. », Les Enjeux Internationaux de France Culture, 24 juin 2024.

« Ilan Pappé : « La guerre à Gaza n’est pas de l’autodéfense, mais un génocide » », Mediapart, 24 juin 2024.

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Ilan Pappé (אילן פפה en hébreu)
est un professeur d'université et historien israélien. Il fait partie des « nouveaux historiens » qui ont réexaminé de façon critique l'histoire de l'État d'Israël et du sionisme. Il est fils de juifs Allemands ayant fui leur pays, après l'accès d'Hitler au pouvoir. Après ses études secondaires, il effectue à compter de fin 1972 ses trois années de service militaire ; lors de la guerre du Yom Kippour (du 6 au 24 octobre 1973), il est notamment actif dans une unité de l'armée, qui opère sur le plateau du Golan, en Syrie.

Après son service, il entreprend des études supérieures et il est titulaire d'un diplôme de niveau licence de l'Université hébraïque de Jérusalem obtenu en 1978. Il quitte ensuite Israël et effectue ses études doctorales en Angleterre à Oxford dont il est docteur en 1984. Après l'obtention de son doctorat, il retourne dans son pays et devient alors professeur au sein de l'Université d'Haïfa jusqu'en 2007.

Au cours des années 2000, Ilan Pappé a été le sujet de plusieurs polémiques, notamment à la suite de la tuerie faite par des membres de la Haganah à Tantura et à son appel au boycott des universités israéliennes, ce qui l'a conduit à entrer en conflit avec ses collègues de l'université de Haïfa et en particulier avec Yoav Gelber. Benny Morris, également « nouvel historien », et lui ont fortement divergé sur leurs analyses des événements de 1948 et dans leur vision des responsabilités du conflit israélo-palestinien.

À la suite de controverses[*] [et de menaces sérieuses sur sa vie et celles des siens], sur ses travaux sur le sionisme sur la création de l'Etat juif et de ses positions politiques en Israël, il s'est exilé en Grande-Bretagne en 2007. Il est aujourd'hui professeur d'histoire à l'université d'Exeter et directeur du Centre européen d'études sur la Palestine.

En 1996, il s'est présenté comme candidat à la Knesset sur la liste du Hadash emmenée par le Parti communiste israélien.
Ilan Pappé est antisioniste, et était membre en 2002 du Parti communiste israélien.
Il est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009.
Il est actif dans le mouvement BDS qui vise a boycotter par exemple les universitaires israéliens.

[*Les causes de l'exode des 700 000-750 000 Palestiniens qui vivaient dans la partie de la Palestine qui devint Israël en 1948 ont fait l'objet d'une controverse entre historiens. Les historiens israéliens affirmaient que les Palestiniens avaient principalement fui à la suite d'ordres des dirigeants arabes ; tandis que d'autres estimaient que l'exode aurait été planifié par les autorités israéliennes.

Citant l'accès aux archives israéliennes et britanniques, les « nouveaux historiens » israéliens ont remis en cause les thèses précédentes à partir des années 1990. Le premier d'entre eux, Benny Morris, est arrivé à la conclusion que l'exode fut avant tout le résultat de la guerre. Avant mai 1948, les Palestiniens fuyaient principalement les combats, notamment par crainte des atrocités, puis ils furent généralement expulsés au cours des opérations militaires israéliennes. Benny Morris explique cependant qu'il n'a pu montrer ou découvrir que cela ait été le résultat d'une politique délibérée. Ses recherches et conclusions remettent ainsi en cause les thèses précédentes.

La thèse de Ilan Pappé est quant à elle plus proche de l'historiographie palestinienne. Il considère que l'exode palestinien est comparable à une épuration ethnique qui aurait été le résultat d'une politique planifiée par David Ben Gourion et un objectif désiré par le mouvement sioniste. De plus, toujours selon lui, cette politique aurait été appliquée dès décembre 1947 et non pas seulement lors des expulsions qui se produisirent après juillet 1948. Benny Morris a également fait référence à plusieurs reprises à ces événements en les qualifiant de nettoyage ethnique.]

Granted, if the war for #Palestine expands further into the region it will become a catastrophe for tens of millions or more. But what will also happen is that other war and conflict stricken regions will also plunge much deeper into total chaos and no one from the "Global North" will still be looking at what happens in #Sudan, #Myanmar, Burkina Faso and #Afghanistan (to only name a few). The people there will then be completely on their own, i.e., if they aren't already.

Stop the #genocides!