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#contenus

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De la part de politiciens, marketeux, institutions,
les forçages à utiliser / subir des #IA_génératives me fatiguent.

Ces gens sont à 2 doigts de nous traiter d'Amish du Numérique, parce qu'on refuse des #technos ou logiciels...

- opaques (algos internes inconnus ou incontrolables),
- créés par des riches occidentaux (nombreux #biais),
- entrainés sur des #contenus sans l'accord des auteur-e-s,
- corrigés par des #esclaves (souvent en Afrique),
- dont on se passait très bien jusque là.

Orange Actualités · Facebook va monétiser les contenus viraux : un nouveau pas vers la désinformation massive : Actualités - OrangeAprès avoir mis fin à son programme de fact-checking, Meta annonce réactiver son programme de monétisation qui favorise les contenus les plus partagés. Une nouvelle brèche vers la diffusion de fausses informations. Meta, maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp dirigée par Mark Zuckerberg, a mis fin à son programme de fact-checking dans la foulée de l'élection de Donald Trump fin janvier. En se débarrassant des vérificateurs de contenus et des outils de modération lancés il y a huit ans, Meta a pris une décision jugée dangereuse par les spécialistes de la lutte contre la désinformation. Comme l'explique France Info, cet allègement des mesures de supervision va irrémédiablement faciliter la propagation de "fake news". Elle risque également d'entraîner la multiplication de contenus visant des personnes sur la base de leurs origines ou de leur identité de genre. L'avertissement concernant les "discours haineux" pouvant "promouvoir la violence hors ligne" a d'ailleurs disparu des conditions générales d'utilisation de Facebook, établies en 2019. La France ciblée depuis trois ans par des campagnes russes de fake news Meta enfonce le clou, en annonçant ces jours-ci son intention de réactiver son programme de monétisation des contenus les plus partagés sur Facebook. Une véritable prime à la viralité, qui pour l'instant, fonctionne sur invitation. Le dispositif devrait toutefois bientôt s'ouvrir à tous les utilisateurs après cette phase de rodage. Susciter de fortes réactions pour gagner un peu d'argent va donc inciter les membres de Facebook à partager des publications parfois mensongères dans le seul but de "faire du clic". Et les sujets d'actualité sensibles et les plus soumis à la désinformation sont nombreux : guerre en Ukraine, élections européennes, situation au Moyen-Orient... Les Etats-Unis seront particulièrement concernés par ces nouvelles mesures. Pour l'heure, le Digital Services Act (DSA) européen peut riposter juridiquement aux campagnes de désinformation, souligne France Info. Mais côté utilisateurs, il est souvent compliqué voire impossible de rectifier le tir malgré les opérations de "débunkage" apportant les preuves de la désinformation. Fin février, le service français chargé de la protection contre les ingérences numériques étrangères, Viginum, a publié un rapport listant les modes opératoires ayant ciblé notre pays ces trois dernières années. Il fait notamment le bilan des opérations de désinformation menées par Moscou depuis que la Russie a attaqué l'Ukraine. La France, en raison de son statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU et de son soutien militaire et économique à l’Ukraine, est devenue une cible privilégiée des campagnes russes de "fake news". Désormais sans filtre, ces attaques risquent donc de s'intensifier sur les réseaux sociaux de Meta, craignent les analystes de Viginum.